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ISKA Photos & Works
5 juin 2017

NITROGODS "Roadkill BBQ" (French Review) - Official Videos "Boogeyman" / "Rancid Rock" - Roadkill BBQ Tour

 

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Tout a commencé avec cette question à l’humour noir: 'On appelle les pompes funèbres ou on en fait quoi ?'

Eh oui, un écureuil, suicidaire sans doute, qui s’est jeté sous les roues du véhicule du trio Nitrogods, en tournée, a donné l’idée du titre plein d’humour de ce troisième album des Rockers de Hanovre / Stuttgart : et pourquoi ne pas en faire un « Roadkill BBQ » ?. Foin de barbecue de rongeur, bien sûr, mais bel et bien place à du costaud, du Rock pure souche qu’affectionnent et dans lequel excellent les trois allemands, pour quatorze nouvelles compositions, justement créées lors de leurs nombreuses et récentes tournées, la route étant leur second ‘chez soi’ et les sources d’inspiration y étant de même nombreuses.

Le plaisir de retrouver la force de persuasion qu’est Nitrogods ne se dément pas album après album et ce troisième effort assure, apportant son lot d’accroche tout autant que de diversité dans son Rock. En effet, on passe d’un Rock’n Roll du meilleur effet, méchamment parfumé à la sueur et aux boissons fortes, « Rancid Rock » et son côté Boogie très fédérateur, pour exemple, à une exploration des racines musicales, avec un titre tel que l’hommage aux Who, « Where Have The Years Gone », le groupe ayant assisté à leur dernière perfomance et l’ayant des plus appréciées. Un appui vers le style mid-tempo des classiques de Ted Nugent, sur « The Price Of Liberty », une guitare en slide pour un Blues Rock façon Rose Tattoo pour « My Love’s A Wirebrush », un fort et efficace en diable, « Boogeyman », avec son riff lourd que ne renierait pas Zakk Wylde, le tout mixé et basé sur le style propre et dynamiquement détonnant de Nitrogods.

En fait, « Roadkill BBQ » a été vu comme un salut à tous ceux qui nous ont récemment quittés, Lemmy de MOTÖRHEAD bien sûr, tout autant que Rick Parfitt (Status Quo) à qui « Rancid Rock » est dédié et dont le guitariste, dit: « ce titre sonne comme Lemmy qui chanterait un titre de Status Quo ». La version coffret contient, d’ailleurs, quatre reprises des classiques de MOTÖRHEAD, groupe que le trio affectionne, s’il en est. C’est vrai qu’en plus d’avoir la particularité d’être des musiciens plus qu’aguerris et vieux routards du monde Rock, Metal, ces trois-là affichent au compteur un bassiste-chanteur dont la voix rappelle et avec la même force, celle de l’iconique frontman du bombardier. Basse qui martèle et assure, guitare jouée de main de maitre, elle aussi, batterie qui n’est pas en reste, en somme, les atouts, voix / basse / guitare / batterie, forment décidemment un carré d’as pour les allemands et leur permet une fois encore, de rafler la mise : « Roadkill BBQ » se montre dynamique, plein de sueur, de savoir-faire et d’un amour de ce Rock qu’ils aiment et qu’ils savent inoculer :

contagieux, ce barbecue qui ‘envoie du bois’ , en somme, à l'image de son artwork dont les habitués reconnaitront la continuité dans l'esprit!

Il tarde de voir Nitrogods à nouveau écumer les scènes hexagonales, alors, en attendant, régalez-vous de ce « Roadkill BBQ » : un mets de choix, assurément, d’autant qu’une fois encore, Nitrogods est resté fidèle à sa volonté de sonner avec toute la couleur unique, le naturel et l’authenticité vintages des racines Rock, en enregistrant avec un matériel analogique à la technologie historique fiable, rare tout autant que chère à tous niveaux.

 

Tasunka

 

 

 

Tracklisting:

CD
01. Rancid Rock 2.43
02. Roadkill BBQ 3.50
03. My Love’s A Wirebrush 2.53
04. Boogeyman 3.42
05. Bad Place Wrong People 2.46
06. Wheelin´ 3.45
07. A Los Muertos 3.22
08. The Price Of Liberty 4.32
09. Race To Ruin 3.32
10. I Hate 2.50
11. Father 2.51
12. Where Have The Years Gone 3.59
-------------------------------------
13. Russian Rocket 3.23 (Bonus)
14. Did Jesus Turn Water Into Beer 4.25 (Bonus)


"Roadkill BBQ" was produced at the ´Peppermint Park Studios` in Hanover, again with the support of sound
engineer Helge Engelke (Fair Warning) and mixed by metal pundit Achim Köhler (Amon Amarth, Primal
Fear, Brainstorm

 

 


 

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==> French Reviews / Chroniques: "Rats And Rumours" (2014) // "Nitrogods" (2012)


 

 

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NITROGODS Line Up:

-Henny Wolter – G
-Oimel Larcher – V / B
-Klaus Sperling – D

 

******

 

Discography:

-NITROGODS (2012)
-RATS AND RUMOURS (2014)
-ROADKILL BBQ (2017)

  


 

==> ROADKILL BBQ TOUR DATES: here / ici :)

 

TOURDATES:
09.06. D-Nürtingen – Kuckucksei
10.06. D-Starnberg – Food Rock Festival
16.06. D-Homberg – MISE Open Air
24.06. I-Natz – Alpen Flair
15.07. D-Manrode – Fest Evil
28.07. D-Essen – Nord Open Air
…more dates to follow incl. more EU Shows!

ROADKILL BBQ TOUR 2017
Special Guests: MF Ruckus (USA) + Kickin Valentina (USA)
29.09. D-Hamburg – Logo
30.09. D-Klingenthal – Gambrinus
01.10. D-Erfurt – From Hell
02.10. D-Mannheim – 7er Club
03.10. D-München – Backstage
04.10. D-Stuttgart – Cann
05.10. D-Düsseldorf – Pitcher
06.10. D-Hagen aTW – Stock
07.10. D-Oldenburg – Cadillac

 


 

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27 mai 2017

RHAPSODY OF FIRE "Legendary Years" (French Review) - Official Audios 2017: "Land Of Immortals"/"When Demons.."/"Knightrider.."

 

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2017 voit la célébration des vingt ans de carrière de Rhapsody, devenu Rhapsody Of Fire suite au split de ses deux maitres à penser et compositeurs principaux, Luca Turilli et Alex Staropoli. 2017 voit aussi une sortie qui vaut le détour, « Legendary Years », un album qui porte avec justesse et haut, son nom, puisque y figurent non moins qu’une sélection des meilleurs classiques de l’âge et ascension d’or de Rhapsody.

Quatorze pièces maitresses issues des albums de cette ère qui couvre 1997-2002, se voient donc réenregistrées, remixées, remasterisées et ce, avec, à la manœuvre pour l’interprétation, le tout nouveau line-up au complet de Rhapsody Of Fire, puisque les deux derniers arrivants, Giacomo Voli au chant et Manu Lotter derrière les futs, rejoignent la famille Rhapsody Of Fire et s’y entendent pour participer à donner un sang frais à ces plus que légendaires titres, tout en gardant, valorisant, l’esprit puissant, hymnique qui les anime et les a toujours fait autant apprécier. Connus, reconnus et hautement appréciés, ces morceaux ont gravé leur nom, leurs riffs, leurs vocaux, leurs hymnes dans le panthéon du Symphonic Power Metal épique. Aussi, facile d’imaginer la pression que le groupe s’est mise en faisant ce pari de revisiter ces classiques, d’autant qu’aux vocaux, la succession ressemblait quasi à un défi, celui de succéder à Fabio Lione. Pari brillamment réussi par Giacomo Voli, qui laisse bluffé par sa voix, se montrant hautement capable d’exploser en une palette de tons, pouvant ainsi et avec panache, arpenter toute la gamme et elle est riche, qui caractérise Rhapsody (Of Fire).

Toute la troupe assure littéralement titre après titre et s’est donnée visiblement à fond tout au long de « Legendary Years », toute passion et sueur dehors : cela s’entend, se vit au travers de ces quatorze perles qui brillent d’un nouvel éclat, près de deux décennies après leur sortie. Le travail hautement inspiré et qualifié de Sebastian ‘Seeb’ Levermann (Orden Ogan) au niveau des mixage et mastering, participe pleinement à cette réussite, en permettant aux italiens de tout donner, s’exprimer et s’éclater sans limites.


« Legendary Years » est non seulement un album réussi mais aussi la meilleure démonstration, s’il en était besoin, que Rhapsody Of Fire sont bel et bien là et en grand forme encore, avides de poursuivre la route que cet album a tracée, signant ainsi un nouveau chapitre pour les légendaires maitres du Power Symphonique.

 

Tasunka

 

 

 

 

 


01. Dawn of Victory – ***
02. Knightrider of Doom – *****
03. Flames of Revenge – *
04. Beyond the Gates of Infinity – **
05. Land of Immortals – *
06. Emerald Sword – **
07. Legendary Tales – *
08. Dargor, Shadowlord of the Black Mountain – ***
09. When Demons Awake – *****
10. Wings of Destiny – **
11. Riding the Winds of Eternity – **
12. The Dark Tower of Abyss – **
13. Holy Thunderforce – ***
14. Rain of a Thousand Flames – ****

 

==>From Albums:

-Legendary Tales -1997: *
-Symphony of Enchanted Lands – 1998: **
-Dawn of Victory – 2000: ***
-Rain of a Thousand Flames – 2001: ****
-Power of the Dragonflame – 2002: *****

 

  • Mixed and mastered by Sebastian ‘Seeb’ Levermann (Orden Ogan)
  • Artwork of Alexandre Charleux

 

 

 

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-Giacomo Voli - V

-Alex Staropoli - K

-Roby De Micheli - G

-Alessandro Sala - B

-Manu Lotter – D 

 

 

 

 


 

 

 

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26 mai 2017

DANZIG "Black Laden Crown" (French Review) - Official Audios "Last Ride", "Devil On Hwy 9"

 

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==> out on May 26th 2017 <==

 

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Artiste unique et incontournable s’il en est, Glenn Danzig a su conquérir le monde musical au long des décennies, avec sa patte, ses atmosphères funestes et envoutantes et sa voix si caractéristique. Une reformation saluée des MISFITS, dont il a été et est le fondateur et chanteur, une célébration du quart de siècle de la sortie du pilier d’album qu’est « Danzig III : How The Gods Kill », les derniers temps ont été propices, aussi, l’annonce d’un nouvel opus studio, bardé de sang frais après sept ans sans nouvelles compositions de DANZIG, cela faisait saliver d’avance. Oui et bien, suspendez votre salive, étant donné que " Black Laden Crown " affiche, certes, des compositions agilement lourdes où les guitares assurent et font accrocher, mais dès que le chant entre dans la danse, un sourcil interrogateur ne peut s’empêcher de se lever.

Avant de passer au sujet qui fache, tout d’abord, le positif de « Black Laden Crown »: de nouveaux titres convaincants qui font adhérer, à commencer par le meilleur qu’est l’imparable « Last ride » ou le second point fort, « Pull The Sun ». La composition est efficace, ce qui aurait de quoi fédérer sans se poser de questions, comme le montrent les autres morceaux, moins passionnants mais intéressants : « Skulls Daisies », « But A Nightmare ».

Par contre, il y a un ‘léger’ souci : le mixage surréaliste qui laisse les titres déséquilibrés et par voie de conséquence, en en réduit souvent nettement l’efficacité. Si le mixage met la voix de Danzig en avant, comme à son habitude, et ce, d’autant que le maitre s’en charge encore et toujours en personne, là, on lève un sourcil en se demandant le pourquoi de ce chant sur-mixé au détriment des instruments, presque relégués en arrière plan. Ce mixage n’offrant, qui plus est, même pas de niveau égal selon le titre : l’un souffrant moins que l’autre de ce déséquilibre...ou comme le résume avec humour le commentaire d’un fan sur Internet:

«ça a été mixé par Beethoven »… 

Certes, l’intention pourrait avoir été de revenir à l’essentiel, sans effet inutile, droit aux racines de la musique, mais si tel était le cas, le but n’est pas atteint. Et pourtant, « Black Laden Crown » a, malgré tout, un ‘je ne sais quoi’, qui fait ne pas s’en détourner. Un album déroutant par son mixage et mastering, donc, mais avec quelques atouts de titres qui luisent : alors, à vous de juger!

 

Tasunka

 

 

 

“Black Laden Crown” Tracklist:

01. Black Laden Crown
02. Eyes Ripping Fire
03. Devil On Hwy 9
04. Last Ride 
05. The Witching Hour
06. But A Nightmare
07. Skulls Daisies
08. Blackness Falls
09. Pull The Sun

==> Cover with Painted Art by Long-Time
Collaborator Simon Bisley.

 

 

 

 

 

 

 

 

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==> "Skeletons" : French review / Chronique: here / ici <==

 


 

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24 mai 2017

DAMANEK "On Track" ( French Review)

 

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==> Release Date: 19 May 2017

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Créé en 2016 à l’initiative du multi instrumentaliste, multi talentueux, inspiré et renommé à juste titre artiste qu’est Guy Manning, son nouveau groupe DAMANEK a pour actif un line-up des plus prestigieux dans le monde du progressif et au-delà, qui soit; un line-up réuni aux côtés de son père fondateur, pour présider à la naissance de ce premier album, « On Track », sans omettre de mentionner les nombreux guests tout aussi aguerris et reconnus qui l’entourent et participent pleinement à la réussite de cet album. « On Track » déploie effectivement les ailes d’un Prog multi-formes qui fait merveille à tous les niveaux: composition, interprétation, production, paroles ou artwork.

Et comment ne pas être bluffé, touché, séduit par ces huit compositions qui marquent et se voient être plus qu’efficacement interprétées par des artistes à la technique qui n’a d’égale que leur implication émotionnelle, ce qui donne une alliance qui se transforme en une combinaison explosive de feeling, de profondeur et d’accroche, tous étant riches d’un panaché de facettes et niveaux multiples. « On Track », c’est un superbe voyage hyper prenant aux allures de voyage en train, lancé sur les rails d’un Rock Prog’ dans tout ce qu’il a de meilleur, de plus intuitif, organique et profondément naturellement parlant. Les thèmes chers au cœur de Guy Manning, à savoir ses préoccupations pour l’environnement, l’avenir de la planète, s'expriment et touchent ainsi tout au long de l’album. La forte impression qu’avait fait Damanek au Summer’s End Festival en 2016, est confirmée avec leur premier album, assurément. 

« On Track » est à découvrir sans attendre et la bonne nouvelle est qu’un nombre suffisant de morceaux a vu le jour lors de la phase créative du premier, pour voir un second album déjà écrit. 


« On Track » est, en somme, un bijou d’album, classe, chaleureux, profond et vivant, créé par un groupe à l’âme unique à fleur de composition et interprétation : DAMANEK ! 


Tasunka

 

 

 

 

"On Track" Track list:

01. Nanabohzo and the Rainbow
02. Long Time Shadow Falls
03. The Cosmic Score (Heavens Song Pt. 1)
04. Believer-Redeemer
05. Oil Over Arabia
06. Big Parade
07. Madison Blue
08. Dark Sun


Cover / logo designed by Antonio Seijas 

 

 

 

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DAMANEK Line-up:


-Guy Manning (The Tangent, UPF-United Progressive Fraternity) - Lead / Backing Vocals, Keyboards, Acoustic Instruments, Guitars, E-Bow, Percussion, Writer/Lyricist
-Dan Mash (The Tangent, Maschine, UPF) - Bass, Backing Vocals
-Marek Arnold (Seven Steps to the Green Door, Cyril, Toxic Smile, UPF) - Saxes, Clarinet, Keyboards, SeaBoard
-Sean Timms (Unitopia, Southern Empire) - Keyboards, Banjo, Backing Vocals

 

The recording of ‘On Track’ is completed by a stellar list of guest musicians including:

-Brody Thomas Green (Southern Empire) - Drums (on tracks: 1,2,3,4,5,6)
-Tim Irrgang (UPF) - Percussion
-Antonio Vittozzi (Soul Secret) - Electric Guitars
-Luke Machin (The Tangent, Maschine, Kiama) - Electric Guitars
-Stephen Dundon (Molly Bloom) - Flute (on track: 7)
-Nick Magnus - Keyboards (on track: 3)
-Phideaux - Vocals (8)
-Ulf Reinhardt (Seven Steps to the Green Door) - Drums (8)
-Chris Catling - Guitar (4)
-DavidB - Backing Vocals
-Julie King - Backing Vocals
-Kevin Currie - Backing Vocals
-The Santucci Horns (Eric 'Tooch' Santucci - Trumpet / Alex Taylor - Trombone) (4, 6)

 

 

 


 

 

First front cover designed by Antonio Seijas 

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22 mai 2017

HELL OR HIGHWATER "Vista" (French Review) - Official Video "I Want It All"

 

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Un travail finement mené au niveau de la composition, injecté d’une dose massive de richesse, de variété et sur un fil rouge de beaucoup de savoir-faire et surtout, surtout, de l’ingrédient clé qui fait adhérer à Hell Or Highwater et aux nouveaux morceaux de « Vista » : une sacrée passion chevillée au chant, aux instruments, qui se propage titre après titre et vous emporte dès les premières notes, en crescendo.

Le Rock est, ici, mis à l’honneur dans ses nombreuses atmosphères et ce, avec un de ces panaches naturel : dynamique, profond, enlevé, plus calme mais toujours intense, le Rock de HOH agit avec l’efficacité redoutable d’un distilleur de bonne humeur, de pèche.

Comment résister à la dynamique d’un « Dame », au rythme syncopé à la pointe d’un Hard Rock vintage doublé de chœurs qu’on ne manque pas d’accompagner et le tout bien sûr drivé par des guitares au top et surtout par l’autre atout maitre de Hell Or High Water : le chant prenant du frontman Brandon Saller pour des vocaux accrocheurs au possible, en mélodique pure ou en pleine attaque. La basse se distingue, quant à elle, avec sa ritournelle sourde, notamment sur « Washed Away », sa profondeur sur « Don’t Hate Me », « Another Good time » et en parlant ritournelle, le duo de guitares s’y entend pour vous rentrer sous la peau et vous faire vibrer, pour commencer via les morceaux précédemment cités ou encore sur « Washed Out In The Rain », juste à titre d’exemples car c’est tout au long de l’album que l’effet agit. Sinon, côté batterie, celle-ci assure sa partie, même si elle aurait pu se montrer aussi présente que ses comparses.

Avec le groovy, hymniquement trop bon « Another Good Time », « Lighter Than Air », le catchy « I Want It All », « Pieces », le remarqué « Don’t Hate Me », sans omettre de mentionner « Out In the Rain », entre autres et surtout le superbe final posé par un « Revolution » qui met dans le mille à tous niveaux, bref, avec ces atouts en main, l’accroche se fait sans coup férir tout au long de « Vista », d’autant que la production a su intelligemment capter chaque nuance, chaque pointe de dynamique ou de profondeur et restituer le Rock de HOH à sa juste valeur : classement groovy, Rock et fédérateur.


Hell Or Highwater délivrent une vraie pièce maitresse nommée « Vista » !

 


Tasunka

 

 

 

 

"Vista" Track-List:

01- Colors (3:15)
02- Walk Out In the Rain (3:29)
03- Don't Hate Me (3:08)
04- Another Good Time (3:32)
05- Lighter Than Air (3:23)
06- Blister (4:25)
07- Don't Stop. Get Up. (2:57)
08- Dame (3:39)
09- Washed Away (3:27)
10- Pieces (3:14)
11- I Want It All (3:39)
12- Revolution (4:00)

 

 

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Brandon Saller– Vocals (drummer, vocalist of ATREYU)
Kyle Rosa– Drums
Joey Bradford– Guitar
Jon Hoover– Guitar
Nick Maldonado– Bass/Synth

 

 


 

 

 


 

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20 mai 2017

BELOW "Upon A Pale Horse" ( French Review) - Official Video "Disappearing into Nothing"-Audios "1000 Broken Bones"/"Hours..."

 

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Pour leur second album, « Upon A Pale Horse », les suédois de BELOW ont choisi de retourner aux Deep Blue studios de leur ville d’origine, Nykoping, là où avait été produit le EP quatre titres de 2012. Bien leur en a pris, étant donné que les nouveaux morceaux sonnent efficacement bien pour participer à rendre les atmosphères lourdes, menaçantes, sourdes, comme le Epic Doom de BELOW le demande. Epic Doom donc, aussi mélodique, Heavy, gluant, prenant, la bande a assurément su amener des variations dans sa musique et une maturation flagrante.

Le chant Heavy et lourd mais sans sombrer, marque une nouvelle fois des points, tout comme les riffs du même ordre, qui s’insinuent avec habileté en vous, ou encore une rythmique assurée par une basse épaisse ce qu’il faut ainsi qu’une batterie qui répond présent pour ce qui est des attentes. En somme, les ingrédients sont au rendez-vous pour faire de « Upon A Pale Horse », un album convaincant, d’autant que les apports vocaux des invités (liste ci-dessous) participent à cela.

Le plus rapide, plus court, plus long, plus mélodique, plus lent de la carrière de Below, chaque morceau a sa mention spéciale qui reflète cette diversité propre à un album relevé. Que ce soit du remarqué single « 1000 Broken Bones” à “Disappearing into Nothing », « Hours Of Darkness », en passant par « Upon A Pale Horse », ou « The Coven », les dés sont jetés pour se laisser attirer et plonger dans l’univers sombre et bien mené de BELOW. Sans révolutionner le genre, les suédois montrent néanmoins une notable avancée dans leur parcours, unis pour distiller une noirceur de choix qui colle à la peau.

 

Tasunka

 

 

 

 

“Upon A Pale Horse” Track-Listing:

01-The Plague Within
02-Disappearing Into Nothing
03-The Coven
04-Upon A Pale Horse
05-Suffer In Silence
06-Hours Of Darkness
07-1000 Broken Bones
08-We Are All Slaves

 

 

 

 


Below Line-Up:

-Zeb - V
-Hedman - B
-Paud - G
-Berg - G
-Doc – D

Guest appearances:

backing vocals by Sorcerer's Anders Engberg and a speech by Alan Averill of Primordial

 

 

 

 

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19 mai 2017

BARE TEETH "First The Town, Then The World" (French Review) - Official Video "Parted Ways" - Tour

 

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Hyper nerveux, l’ensemble des titres tournant autour des trois minutes, racé, rapide et fouillé à la fois, le EP "First The Town, Then The World" a de quoi se faire remarquer.

BARE TEETH déboulent effectivement plein pot, avec leur passion, leur conviction et elle sont contagieuses : entendre des morceaux tels que « Always Rain » qui démontre une belle force de frappe et de composition de tout son long, convainc directement sans passer par la case hésitation, de même pour le must qu’est « Tomorrow Starts Today » qui vous emporte avec sa lame de fond Thrash / Punk / Rock ou encore « Parted Ways », « Down ». Un tempo plus intimiste pour savourer le track final et voilà déjà la fin de cet EP, accrocheur s’il en est : trop tôt pour quitter BARE TEETH, alors, on appuie sur ‘replay’, un sourire aux lèvres et c’est reparti tous crocs dehors. BARE TEETH font une entrée remarquée avec leur EP, fédérateur à tous niveaux, de l’artwork, à la production, aux paroles, à l’interprétation. Et pour ce qui est de décrire leur musique, autant utiliser les mots de BARE TEETH eux-mêmes :

‘Est-ce du Thrash/Pop ? du Punk/ Rock ? On s’en fout !’. Ils ont raison, BARE TEETH, c’est tout à la fois et plus encore : recommandable en diable, donc !

 

Tasunka

 

 

 

 

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18 mai 2017

THE DEAD DAISIES "Live & Louder" (DVD/CD/2LP) (French Review) - 3 Videos - "LIVE & LOUDER" WORLD TOUR (France: 2 Dates en Juin)

 

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==> Release Date : May 19th, 2017 <==
Territory: World (ex Japan)

 =(Spitfire Music / SPV)=

 

 

Déclarant combien ils sont excités et fiers de leur « Live & Louder », les THE DEAD DAISIES peuvent assurément l’être:quand un groupe de ce calibre sort un premier live hautement réclamé par tous leurs nombreux fans, il est clair que les petits plats sont mis dans les grands et toutes les attentes comblées. Enregistré magistralement par la même équipe qui s’est chargée du précédent et superbement accrocheur album studio « Make Some Noise » (chronique ici), « Live & Louder » aligne, en effet, les compteurs au maximum à tous niveaux: d’abord et avant tout celui de l’efficacité imparable d’un Hard Rock péchu, hymnique, classieux et spontané, nourri au meilleur des racines seventies, débuts 80’s et ce, sans passéisme aucun et avec cette patte personnelle classieuse qui distingue THE DEAD DAISIES. Une patte Hard Rock libre comme l’air, des plus entrainantes, hautement, positivement prenantes et qui met tout le monde d’accord. Les compteurs sont de même au taquet pour ce qui est de la bande, au line-up qui semble enfin stable et assurément soudé, une troupe complice au possible et qui donne tout : chacun s’éclate et communique, fait vibrer sa passion et un de ces plaisirs à être sur scène lors de cette tournée 2016.

Les captations pour ce live, qui a emmené la troupe en Europe et au-delà, Japon compris, ont ainsi été faites au choix à Paris, Vienne ou encore Hambourg, Munich, pour exemples. Quant à la set-list entre morceaux originaux et reprises de choix, elle assure elle aussi, pour garder l’intensité à son maximum tout du long. Que rajouter ? Rien, « Loud & Louder » parle de lui-même dès qu’il est dans le lecteur audio ou DVD. Ce must de live remplissant, en effet, toutes les attentes et plus encore : sur et devant la scène, c’est un raz de marée d’enthousiasme, de moments marquants où chacun s’éclate à l’unisson. 

Les multi talentueux et hautement reconnus et appréciés membres de THE DEAD DAISIES, viennent de délivrer un premier live , « Live & Louder »…un indispensable de live à savourer volume à fond!

 

THE DEAD DAISIES seront de retour en France pour deux dates en juin: au Forum Vaureal (16 juin) et au Hellfest (17 juin) (voir ci-dessous) : si vous ratez ça ou ce live et leurs albums, alors, c'est que vous êtes perdu pour le Rock'n Roll ;)

 


Tasunka

 

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"Make Some Noise" (2016): French Review Chronique : click here / cliquer ici

 


 

"Live & Louder" Tracklisting Digipack+DVD :
 
01. Long Way To Go 4:47 *
02. Mexico 5:15 **
03. Make Some Noise 02:59 *
04. Song And A Prayer 3:39 *
05. Fortunate Son 4:01 (Cover of Creedence Clearwater Revival) *
06. We All Fall Down 3:43 *
07. Lock ' N' Load 5:12
08. Something I Said 5:19 **
09. Last Time I Saw The Sun 5:13 *
10. Join Together 6:30 ((Cover Of THE WHO) *
11. With You And I 5:06 **
12. Band Intros 5:05
13. Mainline 4:54 *
14. Helter Skelter 6:57 (cover of the BEATLES)
15. American Band 3:27 (cover of Grand Funk Railroad)
16. Midnight Moses 5:31 **

-From "Make Some Noise" album: *

-From “Revolucion” album: **

 

 
  


 
DVD content:
 
total playing time: 85 min
language: English
video: NTSC / 16:9
audio: 2.0 Stereo
 
Documentary “Live & Louder” (40min)
01. Intro
02. Looking back at 2016
03. Touring with the Daisies
04. Doug Aldrich
05. Show Preparation
06. Stage Fright
07. Song Favorites
08. Cover Songs
09. The Signing Sessions
10. Looking to the Future
 
Tour Recaps (25 min)
01. Recording
02. Musikmesse / Hessentag
03. Summer Tour
04. Freedom to Rock Tour
05. Arizona Cardinals
06. Japan / South Korea – U.S.O.
07. Kiss Kruise
08. Fall/Winter Tour
 
Bonus Content (20min)
01. Slideshow Best of 2016
02. Videoclip: Song and a Prayer
03. Videoclip: Join Together
04. Videoclip: Long Way to Go
05. Videoclip: Make Some Noise
 

CONTENT BOXSET:
 
- 2LP (279651)
- CD Digi + DVD (279652)
- 7" red Vinyl Single
(live at Planet Rock Radio UK: My Generation, American Band, Maggie May, Ramble On)
- A1 Poster
- Sticker
- Button
- Patch
- A5 Photocard
- size of the box: 31,5 cm x 31,5 cm
- hard cardboard material with top

 

 


  

 

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16 mai 2017

GOD DETHRONED "The World Ablaze" (French Review) - Videos ""The World Ablaze"/"Annihilation Crusade"/"On The Wrong.." - Tour

 

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Avec « The World Ablaze », GOD DETHRONED concluent leur trilogie initiée en 2009 sur le thème de la première guerre mondiale, via un album au Death au large champ d’action, qui allie force et rage sombre doublées d’accroche mélodique, de belles passes d’armes aux instruments, riffs typiquement solides de GD en tête ainsi qu’aux vocaux, sans omettre de citer une batterie qui sait faire parler la poudre, épaulée en cela par une basse du même calibre.

Tout comme le thème du tryptique inspiré de la guerre 14-18, la carrière de GOD DETHRONED a connu des moments difficiles au point de voir la troupe prendre la décision en 2011 (finalisée en 2012) de mettre fin à deux décennies, certes, de succès sur albums et en tournée, mais aussi de hauts et de bas côté line-up, notamment. Il est heureux que, par la suite, son charismatique frontman de fondateur, chanteur, lead guitariste et tête pensante, Henri Sattler dit «The Serpent King », soit revenu sur sa décision de dissoudre le groupe en 2012, la musique lui manquant finalement trop et GOD DETHRONED, en particulier. C’est donc en 2014 que la reformation a débuté, pour aboutir à ce « The World Ablaze », dernier volet de la trilogie inspirée de la guerre 14-18 : "Passiondale - (Passchendaele)" (2009, Metal Blade), "Under the Sign of the Iron Cross" (2010, Metal Blade) et en 2017, « The World Ablaze ».

 Les mots de Dan Swanö en charge du mixage, résument bien ce qu’est le nouvel opus des hollandais : ‘une bonne combinaison de divers rythmes et styles que peut offrir le Death, tous étant exécutés pour tout broyer sur leur passage, avec des chœurs qui marquent ainsi que de mémorables accroches mélodiques !’. « The World Ablaze », c’est effectivement cela et des titres tels que « On the Wrong Side of the Wire », « The World Ablaze », le puissant “The 11th Hour" ou encore “Annihilation Crusade", “Escape Across the Ice (The White Army)", “Breathing Through Blood" éxécutent avec conviction leur oeuvre d’accroche.

Un très bon son pour d’efficaces nouvelles compositions Death toujours avec cette patte mélodique et tirant vers le Thrash, une pochette qui se remarque, pas de doute, GOD DETHRONED sont de retour et signent avec leur dixième opus, une pièce de Death Metal qui assure et ce, même si il arrive de constater que l'album n’égale parfois pas ses prédécesseurs qui avaient placé la barre des plus hautes, il faut dire !

 

Tasunka

 

 

 


“The World Ablaze” Track-List:

01. A Call To Arms
02. Annihilation Crusade
03. The World Ablaze
04. On The Wrong Side Of The Wire
05. Close To Victory
06. Konigsberg
07. Escape Across The Ice (The White Army)
08. Breathing Through Blood
09. Messina Ridge
10. The 11th Hour

 

. The World Ablaze was recorded at the end of 2016 by the band, mixed by Dan Swanö and mastered by Sander van der Heide at Wisseloord Studios in the Netherlands.

 

 

 

 

 

 

 

God Dethroned discography:


-The Christhunt (1992, re-released in 1998 on Cold Blood Industries)
-The Grand Grimoire (1997, Metal Blade)
-Bloody Blasphemy (1999, Metal Blade)
-Ancient Ones (2000, Cold Blood Industries) ***collection of demo songs and live tracks***
-Ravenous (2001, Metal Blade)
-Into the Lungs of Hell (2003, Metal Blade)
-The Lair of the White Worm (2004, Metal Blade)
-The Toxic Touch (2006, Metal Blade)
-Passiondale - (Passchendaele) (2009, Metal Blade)
-Under the Sign of the Iron Cross (2010, Metal Blade)
-The World Ablaze (2017, Metal Blade)

 

 

 

 

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God Dethroned line-up:

 

-Henri "T.S.K." Sattler -vocals & lead guitars
-Michiel “Mike” Van Der Plicht -drums
-Mike Ferguson -lead guitars
-Jeroen Pomper –bass

 

 

 

 

 


 

 

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15 mai 2017

THE ONE HUNDRED "Chaos + Bliss" (French Review)-Videos "Monster"/"Dark Matters"-Euro Tour: France/Germany: to reschedule/reporté

 

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« Chaos + Bliss », c’est une explosion à multiples impacts: rapide, syncopé, rageur et mêlant avec naturel et inspiration, une combinaison bien sentie de Rap, Hip Hop, Grime à la touche électro agressive qu’englobent de puissants horizons Metal dont un Metalcore rentre-dedans aux riffs possédés de force: tel peut être l'aperçu de ce très attendu premier album des anglais de THE ONE HUNDRED.

Leur EP « Subculture » ayant fait impression lors de sa sortie et leur ayant rallié une solide adhésion du plus grand nombre, il tardait donc d’avoir enfin leur premier opus et force est de constater que la claque est au rendez-vous: 

tout y est, c’est méchamment riche, agressif ce qu’il faut, quand il faut, accrocheur, toujours, avec voix en growl, arrachée, ou claire parfois, le tout redoutablement joué toutes tripes dehors et intelligence dedans (mais si, mais si :) et produit au plus près de ce que la musique demandait, c'est-à-dire avec efficacité pour donner toute sa dynamique à chaque atout et horizon qui caractérise THE ONE HUNDRED. En somme..la claque comme dit précédemment, que ce soit sur "Disengage", « Boomtown », « Monster », «Blackjack », « Retreat », et surtout, sur le coup de poing qu’est « Chaos + Bliss », mais pas que. En effet, chaque titre apporte de quoi satisfaire les attentes selon l’humeur du moment, et ce, toujours sur une base de pure éclate. Le disque, d'ailleurs, portant bien son titre de « Chaos et Félicité » / « Chaos + Bliss », car c’est bien l’effet procuré : secoué et heureux de l’être.

« Chaos + Bliss » est une bombe d’album délivrée par un groupe qui affiche au compteur, un plus que certain potentiel de renouvellement du paysage musical: à se procurer d’urgence !

 

Tasunka

 

PS : Leur tournée européenne hors Royaume Uni, qui passait par Paris, le 15 mai 2017, ayant été reportée, les billets achetés pour cette date restent néanmoins valables pour un concert ultérieur.

 

 

 

 

 

 

Tracklist"Chaos + Bliss" :

01. Dreamcatcher (3:15)
02. Monster (3:36)
03. Disengage (3:31)
04. Dark Matters (4:00)
05. Fake Eyes (interlude -1:18)
06. Hand of Science (3:09)
07. Boomtown (3:24)
08. Blackjack (3:53)
09. Retreat (3:28)
10. Who we are now (3:42)
11. Chaos + Bliss (3:18)
12. Feast (6:00)

 

 



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The One Hundred Line-Up:

Jacob Field –V
Tim Hider -G
Phil Kneller -B
Joe Balchin -D

 

 


 

 

 

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14 mai 2017

FATES WARNING "Awaken The Guardian -Live" - Video "Fata Morgana (Live @ Keep It True XIX)"- Tour 2017 (France Date Unique 3 Juin

 

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==> release: 28 April 2017

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Quand un groupe de légende rejoue en live l’intégral de l’un de ses albums tout autant de légende, filme le tout et délivre un live d’anthologie, il y a de quoi se réjouir : d’autant que ce groupe en question, c’est l’incontournable référence du Metal Progressif, FATES WARNING et l’objet du délit, n’est pas moins que leur incontournable troisième œuvre sortie en 1986, «Awaken The Guardian ».

Cette pièce maitresse de Metal avait marqué, à l’époque, l’entrée pour la première fois de FW dans les charts, et depuis les trente dernières années, s’est vue saluée encore et toujours pour la référence qu’elle est et l’inspiration qu’elle a suscitée.

Justement, afin de marquer ces trois décennies depuis la sortie de « Awaken the Guardian », le charismatique leader, guitariste de FATES WARNING, Jim Matheos, a initié de donner deux concerts notamment, et cerise sur la gâteau en plus de rejouer tous les titres originaux, le cadeau ultime a été de le faire avec, reformé, le line-up original de 1987: on retrouve donc avec émotion et plaisir, un moment unique sur scène, puisque les revoilà, John Arch au chant épique inimitable, les deux membres historiques et actuels, Jim Matheos bien sûr et Frank Aresti pour un duo de passes d’armes de guitares d’enfer et mélodiquement inspirée s’il en est, Joe DiBiase à la redoutable basse, tout comme Steve Zimmerman derrière les futs.

Les deux concerts de ce live unique, ont été captés en 2016, l’un en Allemagne au KEEP IT TRUE XIX et l’autre aux USA, lors du Prog Power USA XVII et force est de constater que le résultat comble toutes les espérances : basé sur une production de haut vol, tous les titres résonnent de puissance, de feeling et d’accroche: aux côtés du public, on en prend plein la vue et les oreilles avec un FATES WARNING qui prend un plaisir flagrant sur scène et le fait amplement partager. Quand on songe que « Awaken The Guardian » a été le dernier disque sur lequel John Arch a posé sa voix avec FATES WARNING en 1986, et que la bande de l’époque est à nouveau réunie en 2016, on se dit que la boucle est bouclée et avec panache encore.

« Awaken The Guardian » a été voulu comme un cadeau pour les fans, en remerciement d’un soutien et d’une loyauté sans faille au long des trente dernières années envers FATES WARNING, et le cadeau est beau : ce live a la pochette actualisée est, en effet, un incontournable qui permet de savourer encore et toujours FATES WARNING et ses qualités ou de combler une lacune si on ne connaît pas encore la troupe !


A noter que le groupe va donner un concert unique en France, le 3 juin 2017 :)


En bref, L’esprit de « Awaken the Guardian » est bel et bien toujours vivace trente ans plus tard, comme le prouve ce live des plus recommandés !

 


Tasunka

 

 

 

 

 


2 CD & DVD, Blu-ray, double gatefold vinyl or Download
Metal Blade Records

Songs / Tracks Listing

I -Live at Keep It True XIX:

01-The Sorceress (Live at Keep It True XIX) 06:03
02. Valley of the Dolls (Live at Keep It True XIX) 05:16
03. Fata Morgana (Live at Keep It True XIX) 06:50
04. Guardian (Live at Keep It True XIX) 07:57
05. Prelude to Ruin (Live at Keep It True XIX) 08:24
06. Giant's Lore (Heart of Winter) [Live at Keep It True XIX] 06:59
07. Time Long Past (Live at Keep It True XIX) 02:08
08. Exodus (Live at Keep It True XIX) 09:10
09. The Apparition (Live at Keep It True XIX) 06:27
10. Damnation (Live at Keep It True XIX) 06:31
11. Night on Brocken (Live at Keep It True XIX) 05:44
12. Epitaph (Live at Keep It True XIX) 12:47

Keep It True Festival, April 30th, 2016, Lauda-Königshofen, Germany
Directed and edited by Oliver "Bomber" Barth
Mixed and mastered by Bill Metoyer at SkullSeven Studio, North Hollywood, CA

 

II- Live at ProgPower XVII:

13. The Sorceress (Live at ProgPower XVII) 06:02
14. Valley of the Dolls (Live at ProgPower XVII) 05:23
15. Fata Morgana (Live at ProgPower XVII) 07:00
16. Guardian (Live at ProgPower XVII) 07:47
17. Prelude to Ruin (Live at ProgPower XVII) 08:33
18. Giant's Lore (Heart of Winter) [Live at ProgPower XVII] 07:04
19. Time Long Past (Live at ProgPower XVII) 02:02
20. Exodus (Live at ProgPower XVII) 09:01
21. Damnation (Live at ProgPower XVII) 06:59
22. The Apparition (Live at ProgPower XVII) 05:56
23. Kyrie Eleison (Live at ProgPower XVII) 05:19
24. Epitaph (Live at ProgPower XVII) 12:26

ProgPower USA, September 9th, 2016, Atlanta, GA
Sound recording and video editing by Kent Smith
Audio and video recording services provided by Lucid Lounge Studios - Atlanta
Mixed and mastered by Bill Metoyer at SkullSeven Studio, North Hollywood, CA

 

*************


==>Art direction, design, and artwork by Ioannis 

 

******************

 

FATES WARNING Line-up:

- John Arch : V
- Frank Aresti :  G
- Jim Matheos : G
- Joe DiBiase : B
- Steve Zimmerman : D

With:
- Jim Archambault : Keyboards

 

 


 

 

 

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12 mai 2017

THYRANT “What We Left Behind..." (French Review) - Official Audios "E.O.S." / "Delusion" / "Endless Hunt"

 

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==> Release: May 12th, 2017 <==

 

IndieRecordings

 

 

Quand cinq amis de longue date, passionnés s’il en est, unissent leurs forces, leur sueur et leur détermination, doublé de leur attachement pour l’essence du Death, du Metal sombre, obscur au Metal puissamment accrocheur vintage, du Thrash, du Metal 80’s / 90’s, on peut s’attendre au meilleur et c’est le cas avec «“What We Left Behind…”;en effet, ce 'debut album' voit tous les éléments précités mixés ensemble avec conviction et un fort potentiel autant technique que pour ce qui est des compositions et de l’interprétation.

Tout au long de « What We Left Behind… », on se retrouve en présence d’une œuvre puissamment, méchamment accrocheuse à tous niveaux, qui vous capture, vous… Ah oui , mais avant d’aller plus loin, il est temps de présenter les géniteurs de cette œuvre : THYRANT, ladies and gentlemen ! THYRANT, retenez ce nom car le quintette espagnol formé en 2015, va faire parler de lui avec son Metal aux multiples sources (de IRON MAIDEN à JUDAS PRIEST, de CARCASS à SLAYER, ENSLAVED à OBITUARY) son Metal, donc, qui aligne qualité, détermination, intensité et surtout une de ces puissances qui vous rentre sous la peau avec aisance. Des fort bons titres tels que le Thrash de « E.O.S », les vibrations sombres, au chant Death teinté d’une pointe de BATHORY sur le réussi « Carving The Throne », l’instrumental « What We Left Behind… », le meilleur avec, aussi, « Delusion », « Hard Boiling », « Bury Me », pour exemples.

Fort en puissance, intense dans ses atmosphères, ses riffs, son chant Death, sa ligne rythmique basse-batterie, ses paroles, tout autant que servi par une production taillée pour le propos, « What We Left Behind… » signe pour THYRANT une entrée remarquée dans le monde du Metal : et puisque la bande démontre une carrure internationale surtout qu'elle a rejoint l'écurie du renommé label Norvégien, Indie Recordings, alors, comme une envie de les saluer par un :

welcome THYRANT ! :)

 

Tasunka

 

 

 

 

 

What We Left Behind…” Tracklist:

01-Bury Me (Guest guitar: Lolo Casares)
02-Endless Hunt
03-Delusion
04-Damned At Midnight
05-Hard Boiling
06-What We Left Behind...
07-E.O.S (Guest guitar: Lolo Casares)
08-Carving The Throne

 

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Album credits:

All music by Thyrant
Lyrics by Daniel Pérez
E.O.S.lyrics by Daniel Pérez and Miguel Navarro.
Recorded at Artesonao Estudio 23/5 - 3/6 2016, Málaga, Spain
Engineered by Miguel Mora and Fran Requena.
Produced byMartin Furia and Thyrant.
Mixed by Martin Furia, July - October 2016.
Mastered by Jens Dreesen at Skyline Tonfabrik, Düsseldorf, Germany, November 2016.
Pre-production sessions by Carlos Guardiola, March - May 2016.

 


 

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THYRANT Line-Up:

-Daniel Pérez: V
-J. Mérida: G
-Miguel Navarro: G
-Rubens Oliver: B
-Miguel Vegas: D

 


 

 

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11 mai 2017

HELKER "Firesoul" ( French Review) - Official Video "Empty Room" / Lyric Video "Fight"

 

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==>  „Firesoul“ will also be released in a Spanish version “Alma de fuego” (which will be available digital only) on May 5th too.

 

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Quand HELKER, habitués à écumer les scènes Metal, se sont produits aux côtés de PRIMAL FEAR à Buenos Aires, le maitre à penser et réaliser du groupe, Matt Sinner, a été conquis par leur show au point de produire le premier album des argentins, en langue anglaise, « Somewhere In the Circle » (2013), les trois précédents étant en espagnol.

Quatre ans plus tard, les sud-américains et Matt Sinner se retrouvent et remettent le Power Metal de premier ordre de HELKER, à l’honneur, en donnant toute sa vie, sa vigueur et son ampleur à ce second effort en commun, « Firesoul ». A nouveau en anglais, le disque sort aussi simultanément dans la langue natale du quintette, avec la même signification : « Alma De Fuego ». Un titre puissant qui convient à cet album qui a bien une ‘âme de feu’, assurément servie avec force, dynamisme et implication totale, par la vigueur d’un Power Metal mâtiné de Hard Rock / Heavy, qui d’entrée de jeu voit ses principaux atouts nettement se démarquer : tout d’abord, les vocaux convaincants d’un chanteur de talent, Diego Valdez qui sait mettre dans l’ambiance qu’elle soit en attaque ou plus intimiste et second atout, le duo tout aussi doué et d’une belle efficacité des guitares de Mariano Rios / Leo Aristu. La section rythmique Christian Abarca (basse) / Hernan Coronel (batterie) assurant, elle aussi, sa partie.

Et que vogue le fier navire argentin pour un voyage en pleine mer ‘Power Metal ‘avec ses moments qui secouent pour notre plus grand plaisir, ses parties plus mid-tempos qui mettent les mélodies des plus en valeur et tel un voyage sur les sept mers du Metal, chaque morceau apporte son lot de moments forts et riches. La production de Matt Sinner ainsi que les mixage / master de Achim Köhler assurent en étant les vecteurs du large potentiel de composition et interprétation qui caractérise HELKER, permettant ainsi de donner tout sa dimension et son accroche à un album au Power / Heavy fédérateur !


HELKER confortent avec « Firesoul » ou si vous préférez « Alma de Fuego », leur place de 'groupe qui compte' sur la scène Power Metal argentine mais pas que, sur la scène Metal internationale tout simplement !

 


Tasunka

 

 

 

 


“Firesoul” Tracklist:

01. Genesis (Intro)
02. Fight
03. For All The Eternity
04. Playing With Fire
05. The One
06. Where You Belong
07. You Are In My Heart
08. Empty Room
09. Leaving Out The Ashes
10. Stay Away
11. Break Your Chains
12. Firesoul

13. Rise Or Fall (bonus track)
14. Neon Knights (bonus track) (Black Sabbath cover)


Mixed and mastered by Achim Köhler (Amon Amarth, Sodom, Primal Fear, Brainstorm) at Indiscreet Audio.
Produced by Mat Sinner

 

 

 

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HELKER Line-Up:

-Diego Valdez - V
-Mariano Rios - G
-Christian Abarca - B
-Leo Aristu - G
-Hernan Coronel - D

 


 

 

 

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7 mai 2017

THE UNITY "The Unity" (French Review) - Official Video "No More Lies" / Lyric Video "Rise And Fall" -THE UNITY On Tour

 

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Quand le Hard Rock de première classe rencontre le Melodic Metal de première classe, quand cette rencontre au sommet fait que se tutoient avec maestria, le groove, les hymnes, les mélodies, les riffs et soli d’anthologie, l’énergie, la folie ou la profondeur et l’accroche, alors, nul doute que seuls des maitres dans leur partie pouvaient être à l’origine de ce brulot éponyme qui se fait remarquer : THE UNITY.

En effet, ce sont non moins que les références que sont Michael Ehré à la batterie et Henjo Richter à la guitare, qui sont à l’origine de la création de THE UNITY. Les familiers de GAMMA RAY auront reconnu les protagonistes qui y officient et cette reconnaissance concerne aussi un talent certain dans l’exercice de composition qu’affichent les deux artistes sans parler bien sûr, d’une maitrise des instruments qui explosent d’efficacité et de force de conviction, le chant ralliant la même qualité. Rejoints par leurs comparses notamment du side-project de Ehré, Love.Might.Kill, le duo fondateur se transforme en un sextette à la créativité aussi redoutable que son implication pour ce qui est de donner vie et pèche d’enfer à chaque titre. Pied au plancher, THE UNITY fonce, emporte et fait adhérer sans retenue à ce premier album qui multiplie les approches inspirées via cette combinaison Hard Rock – Melodic Metal dont l’essence brille ici littéralement.

Citer un titre serait réducteur, car chacun a un cachet qui vous marque de son empreinte et fait s’éclater :. Ok, « God Of Temptation », le déjanté « Close To Crazy », le superbe « Killer Instinct » qui lache les fauves et reflète une production au top, « Redeemer” ou « No More Lies », « Always Just You », « The Wishing Well », le parfum de JOURNEY du final hymnique à souhait, « Never Forget », bref, certes ces morceaux se distinguent, mais le choix est votre car chacun a de quoi trouver ses favoris, signe d’un album réussi.

THE UNITY sortent un premier disque éponyme où la classe cotoie la puissance : un indispensable d’album et de groupe dont il serait dommage de se priver !

 


Tasunka

 

 

 

 

 

“The Unity” Tracklisting Digipak:

01. Rise And Fall 5:26
02. No More Lies 5:07
03. God Of Temptation 5:27
04. Firesign 5:18
05. Always Just You 6:02
06. Close To Crazy 3:30
07. The Wishing Well 5:47
08. Edens Fall 4:30
09. Redeemer 4:54
10. Super Distortion 1:03
11. Killer Instinct 5:52
12. Never Forget 5:40



==> Produced by the musicians themselves, mostly at Ehré’s own
B Castle Studio and mixed and mastered by Spain’s Miquel A. Riutort at the
Psychosomatic Recording Studio.

==> Cover artwork by
Alexander Mertsch who has worked for the likes of Deep Purple, Gamma Ray, Status Quo and Europe

 

 

 

 

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THE UNITY LINE-UP:

-Gianba Manenti : V
-Michael Ehré : D
-Henjo Richter : G
-Stef E : G
-Jogi Sweers : B
-Sascha Onnen : K

 

 


 

 

 

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6 mai 2017

SUPERSCREAM "The Engine Cries" ( French Review) - Official Audio "Evil Cream"

 

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SendTheWoodMusic

 

 

Et voilà, fallait bien que cela arrive ! Quoi ? Un coup de cœur, vous savez de ceux qui vous collent une claque et le plus amusant, c’est que cela vous laisse un sourire ravi aux lèvres et que vous en redemandez. Un coup de cœur, donc, pour les talentueusement déjantés bien inspirés et artistes incontestables s’il en est, (si, si, tout ça) qui composent ce fleuron du Metal Progressif libre comme l’air pour mêler les genres, qu’est donc, SuperScream.

Il tardait d’avoir un successeur au salué, « Some Strange Heavy Sound » (2011) et voici que « The Engine Cries » déboule dans les lecteurs en une belle surprise d’album, qui valait l’attente : tous les atouts du groupe, qualité des compositions, audace musicale, inspiration, détermination, répondent en effet à l’appel pour dix nouveaux titres qui n’en finissent pas de faire adhérer avec une palette riche, sans frein ni barrière, juste l’inspiration, le punch et les mélodies à leur maximum, libre comme l’air et une palette, donc, servie par une technique de premier ordre, doublée d’une passion qui n’a d’égale que la détermination, l’investissement d’une formation en pleine possession de ses moyens et de… ah oui et de, cerise sur la galette, une pointe d’humour, qui scelle le propos.

Les réussis pochette et artwork éclairent sur ce à quoi s’attendre avec ce second opus : de la richesse, de l’audace, pour un Metal progressif teinté World Music qui manie avec adresse Hard Rock, Heavy, une pointe Funk ou Jazz et secoue le tout comme si c’était normal. En somme, comme le dit la troupe en personne, SuperScream: c’est du Metal Progressif, World Metal et qu’est-ce que c’est bon, quand c’est bien inspiré et fait comme ça, a-t-on envie de rajouter. N’oublions pas, enfin, de répéter l’épice indispensable dont le groupe savoure l’impact : un gros son, qui scelle la belle sensation et accroche, délivrée par SuperScream via leur second effort.


Alors, mesdames et messieurs, attachez vos ceintures et bienvenue à bord du vol SuperScream, qui continue son ascension vers les sommets et pied au plancher, gros son et dynamisme de ses alchimistes de membres inclus, s’il vous plait !

« The Engine Cries » ne va pas vous laisser indemne et vous allez aimer ça ;)

 

 

Enfin, 'last but not least', il est à signlaer qu’un DVD live arrive à grands pas pour 2017, pour un show apporté par SuperScream qui va donner une nouvelle dimension à leur musique !

 


Tasunka

 

 


(Voir aussi l’autre coup de cœur hexagonal et à la carrure internationale, aussi signé chez Send The Wood Music : HyperDump)

 

 

 

 

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==> Artwork by Stan W Decker

 

 


 

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SuperScream Line Up:

-Eric Pariche : V 
-Phil Vermont : G / songwriting
-Daniel Sminiac : G
-Stéphane Lescarbotte : B
-Martin Mabire : D

 


 

 


 

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5 mai 2017

THE SWORD "Greetings From..." (Live Album - French Review) - Official Live Audio "Maiden, Mother & Crone"

 

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Release date: May 05th, 2017 

 

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Un live de THE SWORD était attendu comme jamais, d’autant que le groupe n’en avait encore sorti aucun, alors qu’ils n’ont cessé de se distinguer sur albums studios, et rallier un nombre conséquent de fans à leur Metal Stoner qui sait se montrer varié, très classe et naturellement groove à la fois, un Stoner qui sait tutoyer le meilleur du genre ainsi que du Doom ou du Heavy Rock seventies en appoints. Enfin, l’attente va cesser et « Greetings From… » va pouvoir combler ce manque et montrer de quoi la troupe est capable hors studio, lors d’une captation live.

Là, le premier constat est que l’on est effectivement en présence d’une formation de qualité en concert, pas de doute à ce sujet, mais le bémol vient néanmoins de cette impression d’un live inégal dans son ensemble.

Si les projecteurs sont plutôt braqués sur les morceaux de leur dernier et fort bon album « High Country » (2015 – chronique ici), dont « Buzzards », "Tears Like Diamonds », « Agartha », « Mist & Shadow », les classiques tels « The Horned Goddess », « Tres Brujas », pâtissent un tant soit peu de bénéficier de moins d’attention dans leur traitement, comme s’ils étaient bienvenus mais pas soulignés autant que les dernières compositions. La saturation en live n’aidant pas, il faut avouer. Certes, le genre pratiqué implique de la saturation, mais pas au point de voir les vocaux s’étouffer parfois dedans.

Disons que « Greetings From… » a de quoi accrocher et possède les qualités indéniables d’un groupe qui assure, mais pas au point, cependant, d’avoir totalement répondu à toutes les attentes et pas au point non plus de faire de ce premier live album, un inoubliable.

THE SWORD sont et restent indéniablement un incontournable de groupe sur album studio, juste que cette première captation scénique est bonne mais aurait pu se montrer plus à la hauteur des attentes et prouver combien le groupe l’est tout autant, incontournable, sur scène: ok, les attentes étaient fortes vue la qualité de THE SWORD, ceci expliquant cela !

 


Tasunka

 

 

 

 

"Greetings From…" Track-Listing:

01. Buzzards (4:23)
02. Chronomancer (7:42)
03. Maiden, Mother & Crone (4:16)
04. Tears Like Diamonds (3:47)
05. Mist & Shadow (5:17)
06. Agartha (1:22)
07. Tres Brujas (4:15)
08. John the Revelator (3:31)
09. The Horned Goddess (7:36)

 

 

 

 

THE SWORD Line-Up:

-Bryan Richie: B

-J.D. Cronise: V/G

-Kyle Shutt: G

-Santiago Vela III: D

 

 

 


 

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==>  « High Country » (2015 – Chronique: ici / French Review: here)

 


 

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4 mai 2017

HyperDump "The Weak Man" (French Review) - Audio "Forlorny" (Feat. Mark Basile)

 

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Sortie / Release Date: 28/04/2017

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HyperDump reviennent en force avec « The Weak Man », un album au Metal moderne de tout premier ordre, qui fonctionne puissamment bien et donne toute sa vie au concept sur lequel il est basé : celui de la vengeance d’un homme dont on a tué le frère au sein de l’univers carcéral cauchemardesque où ce dernier est emprisonné et la révolution qui surgit de cet acte de défier le pouvoir. La maestria des membres de HyperDump agit autant de par l’interprétation habitée de chacun que par la technique sans faille au service de l’intensité du synopsis et enfin, au service de la révolution qui explose.

Accompagné de non moins que des invités de choix (liste ci-dessous), dont notamment aux vocaux, Arno Strobl (Carnival In Coal, We All Die Laughing), Guillaume Bideau (ex-Mnemic, One Way Mirror) et Blaze Bayley (ex-Iron Maiden), le groupe propose une déflagration de Metal tout au long des douze nouvelles compositions toutes aussi relevées, riches que travaillées, émotionnelles et droit au but à la fois. On assiste à une succession de moments prenants, où HyperDump réussit à vous entrainer et avec une des ces aisance et force de persuasion, dans l’univers créé.

« The Weak Man » est un superbe album, original, de la part d’une formation hexagonale qui mérite d’être saluée pour sa créativité et sa qualité à tous les niveaux, ‘son’ imparable inclus. D'ailleurs, 'Send The Wood Music' ne s'y sont pas trompés en les signant récemment.

« The Weak Man » est, en résumé, un incontournable d’album qui accroche dès la première écoute avec ses qualité et profondeur et dévoile à chaque passage dans le lecteur, toujours plus sa richesse et toujours une sacrée force de frappe !


Chapeau à HyperDump ! :)


Tasunka

 

 

 

 


« The Weak Man » Tracklisting :

01 – Awaken
02 – History
03 – Weak Man
04 – Departure /
05 – The Calling
06 – No One Can Divide Us
07 – Forlorny
08 – Incoherence /
09 – Massacre
10 – No More
11 – Revelation
12 – Circling Down The Drain

 

 

 

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2 mai 2017

WOLFPAKK "Wolves Reign" (French Review) - Official Video "Falling" / Audio "Blood Brothers"

 

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Une nouvelle meute de pas moins de 26 guests issus de la fine fleur du Hard Rock / Heavy mélodique (voir la liste de prestige, ci-dessous) s’est assemblée autour des deux males alphas et piliers de WOLFPAKK : le duo des fondateurs de cet 'all-star project', à savoir les artistes, compositeurs-producteurs accomplis à l’origine du projet, que sont Mark Sweeney (Chant, ex-Crystal Ball) -Michael Voss (Guitare / Basse / Chant, Mad Max, ex-Casanova, Michael Schenker).

Depuis 2011 et l’idée qui a germé dans l’esprit prolifique des deux amis de délivrer un Heavy Metal mélodique / Hard Rock péchu où de nouveaux guests seront invités à chaque nouvel album, a fait mouche. C’est le cas pour les trois premiers albums et à présent, le tout dernier né, « Wolves Reign » fait, lui aussi, honneur à ses prédécesseurs, en alignant des titres imparables où le duo de membres permanents du projet a, une fois de plus, posé une solide fondation de compositions de pur Heavy / Hard Rock, fondation sur laquelle s’éclate littéralement chacun des invités.

Car la clé de la réussite qui caractérise WOLFPAKK, vient du fait que la couleur, la saveur particulière est donnée par l’intervention des invités, qui, chacun dans leur partie, sont libres d’apposer et apporter leur touche sur cette base, ce qui fait de chaque morceau, une pièce unique et ce qui fait, de même, de l’ensemble de l’album, un kaléidoscope puissamment accrocheur car riche de tous les horizons et personnalités, talent des guests. Dans un esprit très intelligent de partage, chaque poste est occupé à tour de rôle par un invité, en plus du duo de base et ce, à tous les postes, d’où des moments intenses où le plaisir est au rendez-vous, car on assiste à une débauche de l’expression de l’habilité de tous, que ce soit au chant, basse, guitare ou batterie. Ecouter « Blood Brothers », « Wolves Reign », « Inside The Animal Mind », « Mother Earth », « Falling », le final Hard Rock dynamique au possible “I’m Onto You”, c’est succomber à l’appel de la meute, mais en réalité, chacun trouvera son bonheur, puisque chaque titre est porteur d’un fort potentiel accrocheur. Alors, pourquoi choisir quand c’est bon comme ça ? :)


Au long de "Wolves Reign", on s’éclate autant que la troupe, chante en chœur, secoue ses cervicales, en compagnie de WOLFPAKK qui a, une fois encore, réussi une belle pièce d’album, et ce, à tous niveaux,

grâce à une meute totalement investie, toute sueur et motivation dehors pour ce quatrième opus hautement fédérateur!

 


Tasunka

 

 

 

 

 

 

« Wolves Reign » Tracklist:

01. Falling
02. Run All Night
03. Blood Brothers
04. Wolves Reign
05. No Remorse
06. Inside The Animal Mind
07. Spirit Of The Hawk
08. The 10 Commandments
09. Mother Earth
10. Tomorrowland
11. I’m Onto You

All songs written by Sweeney/Voss except #1,2 & 11 by Sweeney, Voss, Rauber

 

 

 

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The melodic metal allstar project led by Mark Sweeney (ex-Crystal Ball) and Michael Voss (Mad Max, Michael Schenker)

 

Guest musicians:


Vocals:

-Biff Byford (Saxon)

-Ronnie Atkins (Pretty Maids)

-Michael Vescera (ex- Yngwie Malmsteen)

-Tony Harnell (TNT)

-Oliver Hartmann (Avantasia)

-Jioti Parcharidis (Victory)

-Steve Grimmett (Grim Reaper)

-Pasi Rantanen (Thunderstone)

-Claus Lessmann (Phantom V)

-Danny Vaughn (Tyketto)

-Andy Lickford (Lickford)


Guitar:

-Timo Somers (Delain)

-Brad Gillis (Night Ranger)

-George Lynch (ex-Dokken)

-Alen Brentini (A. Gabalier)

-Jen Majura (Evanescence)

-Chris Holmes (ex-W.A.S.P.)

 

Bass:

-Rudi Sarzo (Ozzy Osbourne)

-Marc Lynn (Gotthard)

-Volker Krawczak (Axel Rudi Pell)

-Michael Müller (Herman Frank)


Drums:

-Alex Holzwarth (Avantasia)

-Gereon Homan

 

 

 

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==>  Chroniques / French Reviews : click on artwork / cliquer sur les pochettes ;)

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1 mai 2017

BROTHER FIRETRIBE "Sunbound" (French Review) - Official Video "Indelible Heroes"/"Taste .." -15th Anniversary Tour: Paris 19 Oct

 

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Release date: March 24th, 2017

 

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Enfin une production qui rend pleinement justice à la vaste et riche palette des qualités qu’offrent BROTHER FIRETRIBE via leur 'AOR teinté West Coast' vintage et moderne à la fois, mais aussi hyper mélodique, racé comme un félin, classe, acccrocheur, fédérateur et majestueux s’il en est : oui, tout ça !

En effet, pour leur quatrième opus on peut dire que les finlandais décrochent la timbale puisque « Sunbound » peut s’enorgueillir de porter haut l’étendard de qualité de composition et d’interprétation qui caractérise le side project du guitariste de NIGHTWISH, Erno “Emppu” Vuorinen. BROTHER FIRETRIBE délivre au long des nouveaux morceaux, des pépites de mélodies, qui allient tout autant des riffs puissamment imparables, que des vocaux, des claviers et une ligne basse-batterie, en pleine possession de leurs moyens et ils sont grands. C’est donc porté par un mixage du maitre es studio, Mikko Karmila (Nightwish, Children Of Bodom, Stratovarius) que BROTHER FIRETRIBE se baladent avec une de ces aisances pour donner libre cours à douze nouvelles sensations (pour la version CD, treize pour celle LP) qui vous rentrent par une oreille et n’en ressortent pas par l’autre, bien au contraire : c’est hymnique, fédérateur et on se surprend à garder les refrains en tête ou à découvrir à chaque nouveau passage dans le lecteur, une richesse de plus.


BROTHER FIRETRIBE montrent combien ils se bonifient avec l’âge et leur quatrième album, « Sunbound », est à découvrir en urgence pour l’évolution dont celle du chant qui enfin rejoint le niveau de ses collègues, et tout autant à se procurer pour la classe, la chaleur et l’énergie qu’il procure !


A noter que lors de la seconde partie de la tournée pour le 15ième anniversaire de la fondation du groupe, passera par la France, à Paris, le 19 octobre 2017 ! ;)

 


Tasunka

 

 

 

 

 

“Sunbound” Tracklist :

01. Sunbound - 1:35
02. Help Is On The Way - 3:55
03. Indelible Heroes - 3:51
04.Taste Of A Champion (remastered) - 3:36
05. Last Forever - 3:53
06. Give Me Tonight - 3:44
07. Shock - 4:06
08. Strangled - 4:06
09. Heart Of The Matter - 3:58
10. Restless Heart - 4:33
11. Big City Dream - 4:13
12. Phantasmagoria - 5:03
13. Don’t Cry For Yesterday *
* LP version

 

 

*****************

 

 

BROTHER FIRETRIBE Line-Up :

-Emppu Vuorinen : G
-Hannes Pirilä : D
-Jason Flinck : B / Backing Vocals
-Pekka Ansio Heino : V
- Tomppa “Tomi” Nikulainen : K

 

 

 


 

 

 

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28 avril 2017

AYREON "The Source" (French Review) - Official Video "The Day That.." / Lyric Videos "Star Of Sirrah" /"Run!.."/"Everybody Dies"

 

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S’il est un lutin facétieux au sens de l’humour aussi large que son grand talent de créateur de génie, de multi-instrumentaliste, compositeur et j’en passe, c’est bien le doué Arjen A. Lucassen. Quand il s’agit de délivrer un retour royal au meilleur du concept album, exercice que l’homme affectionne et dans lequel il excelle avec AYREON, là, l’implication est totale, humour inclus certes lors du processus creatif, mais avec une dévotion, implication, un sérieux et une passion sans failles pour donner vie à un nouveau et ambitieux chapitre de la saga, via ce prequel nommé « The Source ».

Et quel magnifique concept-album, Rock–Metal-Progressif, au scénario travaillé, intense, qui prend vie en une succession de moments forts, riches, dont la diversité rend toute sa force au propos, à l’histoire sombre mais pas sans espoir, qui anime « The Source ». Une pléthore d’artistes, tous maitres vocalistes es-Heavy, Progressif, mélodique, donne vie et âme aux personnages de cette nouvelle narration captivante dont Arjen A. Lucassen a le secret. A l’image du premier titre qui reflète bien ce qu’est « The Source », “The Day That The World Breaks Down” (voir vidéo ci-dessous), le ton est donné. Tout comme au long de ce premier morceau, cet opéra Heavy–Rock–Prog de premier ordre qu’est « The Source », voit
atmosphères et moments propres à faire vibrer, se succéder, variés, sans temps mort et fascinants. Les appoints typiques de Folk propres à AYREON, les claviers, le violon, la contrebasse, la batterie naturelle, sans fard et redoutablement directe, complètent avec classe la base Heavy qui coure en fil rouge sur ce double opus. Un double album qui se révèle, d’ailleurs, être l’un des concepts les plus Heavy que Arjen Lucassen ait créés.

« The Source » signe un retour royal de AYREON aux affaires ‘concept-album – Opéra Rock / Heavy / Prog teinté de Folk qui assure'.

Classe et accrocheur de sa première note à sa dernière, de ses premiers vocaux aux derniers, de sa production totalement qualitative à son artwork, son scénario et bien sûr, à ses protagonistes de musiciens / chanteurs doués au possible, qui lui ont donné toute sa vie et sa chaleur intenses: oui, royal, ce « The Source » des plus recommandés, l’est assurément! :)

 

Tasunka

 

 

 

 

 

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